UN FURIEUX DÉSIR DE BONHEUR – OLIVIER LETELLIER & CATHERINE VERLAGUET

un furieux désir de bonheur

 

DISTRIBUTION :

 

TEXTE : Catherine VERLAGUET
METTEUR EN SCÈNE : Olivier LETELLIER
CHORÉGRAPHE : Sylvère LAMOTTTE

CRÉATION SONORE : Mikael PLUNIAN
INTERPRÉTATION :

Geneviève DE KERMABON
Jeanne FAVRE
Thomas GUENE
Lilou NIANG
Ninon NOIRET
Geoffrey PLOQUIN
Mateo THIOLLIER-SERRANO

COLLABORATION A LA MISE EN SCÈNE : Jonathan SALMON
CRÉATION LUMIÈRES & SCÉNOGRAPHIE : Sébastien REVEL
RÉGIE GÉNÉRALE : CELIO MENARD
COSTUMES : JULIETTE GAUDEL

 

UN FURIEUX DÉSIR DE BONHEUR :

 

Avec « Un furieux désir de bonheur », spectacle pour sept interprètes mêlant théâtre, danse, musique et cirque, Catherine Verlaguet et Olivier évoquent le désir de bonheur et sa contagion.

Le bonheur ricoche d’une histoire à l’autre : celle de Léonie, 70 ans, qui s’allonge pour attendre la mort avant de bifurquer vers un nouveau commencement, celle de sa petite fille mais aussi celle d’Éric, professeur de sport. Des situations simples qui, se faisant écho, interrogent les notions de joie et de liberté à travers les mots et les corps.

Oser dire que l’on aime, que l’on a de l’appétit pour les petits riens du quotidien, soutenir mordicus son envie d’être heureux : la tonalité volontairement optimiste du propos se traduit sur scène par l’exaltation des sept interprètent qui se coulent dans la peau des héros avec un plaisir communicatif. Le bonheur se propage par ricochet, il contamine tout le monde et va jusqu’à galvaniser le public dans les gradins. Jubilatoire.

 

CATHERINE VERLAGUET :

 

Catherine Verlaguet

 

Née en 1977, Catherine Verlaguet intègre les sections d’Art Dramatique des Conservatoires de Toulouse, puis de Marseille, parallèlement à sa formation universitaire théâtrale à Aix-en Provence, puis à Paris Nanterre.
Elle écrit et monte ses deux premières pièces Amies de longue date et Chacun son du (Ed. les Cygnes), puis adapte Oh, Boy, de Marie-Aude Murail, pour Olivier Letellier – spectacle qui remporte le Molière Jeune Public 2010 et est récrée à Broadway, New-York, en janvier 2017.

Elle oscille entre collaborations avec des metteurs en scène et projets personnels. Ecrire lui permet de réfléchir le monde, de partager ses questionnements au travers des histoires qu’elle raconte avec les publics qu’elle rencontre.

De 2011 à 2015, elle est en résidence de création sur le Val de Bièvre avec Bénédicte Guichardon qui monte L’oeuf et la poule (Actes Sud Papiers) Timide et Les Vilains petits (Ed.Théâtrales jeunesse). En 2013, une résidence d’écriture à Valréas lui permet d’écrire Braises (Ed.Théâtrales), mis en scène par Philippe Boronad. En 2015, écrit et réalise également son premier court-métrage, Envie de, produit par France 2. En Juin 2016 est aussi créé Kalila wa Dimna, opéra produit par le festival d’Art Lyrique d’Aix en Provence, musique de Moneim Adwan et mis en scène par Olivier Letellier, dont elle co-écrit le livret. En 2017, elle co-écrit avec Magali Mougel et Sylvain Levay La nuit où le jour s’est levé (Ed.Emile Lansman), ainsi qu’une petite forme Maintenant que je sais (Ed. Emile Lansman), mises en scène par Olivier Letellier. En 2018, elle adapte, toujours pour Olivier Letellier, La Mécanique du Hasard, d’après Holes, roman de l’auteur américain Louis Sachar.

 

OLIVIER LETELLIER :

 

 

Directeur artistique du Théâtre du Phare

Formé à l’école Jacques Lecoq, il se met en scène en 2004 dans son premier spectacle L’Homme de fer. En 2007, il crée et interprète La Mort du roi Tsongor d’après le roman de Laurent Gaudé.
En 2009, il monte Oh Boy! et obtient le Molière du Spectacle Jeune Public 2010.
En Janvier 2011, il met en scène Venavi, de Rodrigue Norman, pour la biennale Odyssées en Yvelines (Théâtre de Sartrouville), et crée la même année La Scaphandrière, écrit par Daniel Danis suite à leur rencontre.
En 2013 naît sa création Un Chien dans la tête, de Stéphane Jaubertie.
En 2014, il initie un projet d’écritures de plateau à destination des publics jeunes, grâce auquel naîtront trois solos créés en 2015-2016 : Maintenant que je sais de Catherine Verlaguet, Je ne veux plus de Magali Mougel et Me taire de Sylvain Levey.. Puis La Nuit où le jour s’est levé, co-écrite au plateau par les trois mêmes auteurs, et qui sera présentée par le Théâtre National de Chaillot hors-les-murs au Théâtre des Abbesses en novembre 2016.
En juillet 2016, il met en scène l’opéra Kalila wa Dimna, de Moneim Adwan, une commande du Festival d’Aix-en-Provence. Puis, en janvier 2017, il adapte son spectacle Oh Boy! (toujours en tournée en France) pour la création d’une version anglophone à New-York.
Olivier Letellier est artiste associé au Théâtre National de Chaillot de septembre 2015 à juin 2017. Depuis septembre 2018, il est désormais associé au Théâtre de la Ville – Paris, au Grand T – Théâtre de Loire Atlantique – Nantes. Enfin, Le Théâtre du Phare est en résidence de territoires à Fontenay-sous-Bois.
En 2018 il crée La Mécanique du Hasard, que Catherine Verlaguet adapte d’un roman de Louis Sachar. Le spectacle est actuellement en tournée partout en France.
En mai 2019, il met en scène l’opéra Brundibar, de Hans Kraça, à la Philharmonie de Paris avec 120 enfants du coeur de l’Orchestre de Paris.
Le 4 novembre dernier, au Grand T à Nantes, est présentée sa première pièce pour 7 interprètes comédiens, danseurs et circassiens qu’il écrit avec l’auteur Catherine Verlaguet et le chorégraphe Sylvère Lamotte. Avec ce spectacle il affirme une écriture plurielle et un désir de proposer une autre forme spectaculaire au jeune public.

 

SYLVÈRE LAMOTTE :

 

Sylvère-Puillé-1

 

Né en 1987, Sylvère Lamotte se forme à la danse contemporaine au Conservatoire national de Région de Rennes, puis au Conservatoire national de Danse de Paris. En 2007, alors en dernière année au Junior ballet, il intègre le Centre chorégraphique d’Aix-en-Provence au sein du GUID (Groupe Urbain d’Intervention Dansée), programme initié par le Ballet Preljocaj.

Curieux des univers de chacun, ouvert à diverses influences, Sylvère Lamotte travaille en tant qu’interprète auprès de chorégraphes aux univers variés : Paco Decina, Nasser Martin Gousset, Marcia Barcellos et Karl Biscuit, Sylvain Groud, David Drouard, François Veyrunes, Alban Richard, Perrine Valli et Nicolas Hubert.

Nourri de chacune de ces expériences, de chacun de ces langages, il en retient un goût pour la création collective et le mélange des influences. Il fonde en 2015 la compagnie Lamento au sein de laquelle il explore, en tant que chorégraphe et interprète, ses propres pistes de travail. Particulièrement attaché à la danse contact, Sylvère Lamotte expérimente notamment les moyens d’en faire varier les formes.

 

LE TEASER :