TIMES SQUARE – GUILLAUME DE TONQUÉDEC

Après le triomphe de « La Garçonnière »,
Guillaume de Tonquédec retrouve le metteur en scène José Paul pour une pièce taillée à sa démesure qui offre
la promesse d’une soirée new-yorkaise à la fois drôle et touchante.

À l’écriture, le dramaturge Clément Koch, qui signa notamment « Sunderland »,
nous plonge avec délices dans les secrets de fabrication du métier d’acteur,
fussent-ils loufoques et désopilants.
Une comédie théâtrale finalement bien dans l’air du temps qui nous rappelle combien cet art est un besoin essentiel…


L’AUTEUR :
Clément KOCH

Au quinzième étage d’un vieil immeuble de Times Square, de ceux qui ne connaissent jamais le sombre de
la nuit, j’ai voulu poser une histoire non pas d’acteurs, comme certains sans doute vous l’ont dit, mais de
frères. Une relation, malgré l’usure du temps, forte et passionnelle que j’ai souhaité inscrire, dissimuler
même, dans le rocambolesque d’une leçon magistrale de théâtre qui vous surprendra, je l’espère.
Mais puisque nous en sommes à parler d’art dramatique et que vous faites parties de ces femmes et ces hommes
qui aiment les histoires que l’on raconte en vrai, pourquoi ne pas profiter de l’occasion pour vous livrer
quelques secrets de fabrication d’un métier décidément pas comme les autres où l’on joue là où les autres
travaillent. Savez-vous d’ailleurs qu’à l’instant où se lève le rideau, alors que vous vous interrogez probablement
sur comment seront ce soir les comédiens, de l’autre côté du « quatrième mur », en coulisses, pétris de trac,
eux s’inquiètent de savoir si le public sera à la hauteur !
Mais le coeur battant, ils entreront en scène et, si nous avons tous bien travaillé, vous, dans cette histoire.


LE METTEUR EN SCÈNE
José PAUL

C’est à Manhattan, dans un vieux loft new-yorkais, que Clément Koch nous invite à la fusion de quatre solitudes ;
des êtres cabossés par la vie en quête d’un idéal qui pourrait apparaître vain mais va se révéler,
au fil de la narration, comme un espoir : celui de mettre à nu ce qui est enfoui en eux afin d’accomplir l’acte d’être en phase avec les autres.
Ainsi, l’auteur nous entraîne sur les chemins de ses personnages empreints de blessures, de peurs, de doutes, luttant sans cesse pour s’affranchir d’un
isolement ô combien paradoxal dans ce quartier de Times Square sans cesse en mouvement.
Mettre en scène ce huis-clos, c’est bien évidemment soigner scénographie, vidéos, costumes, accessoirisation
dans le but de mettre en exergue l’atmosphère tendre et mordante de cette comédie « à l’anglosaxonne »,
mais c’est aussi et surtout s’attacher à la direction d’acteurs, pierre angulaire d’une pièce où,
qui plus est, le comédien se retrouve au centre de l’arène.
Par ce travail et la réunion de quatre solistes de talent, je n’ai cessé de m’enthousiasmer de cette aventure que je vous laisse maintenant découvrir…
Merci à Guillaume, Camille, Marc et Axel de s’être immergés avec moi avec une telle évidence.


Guillaume de TONQUÉDEC
Dans le rôle de Matt Donovan

C’est un acteur qui ne peut être rien d’autre qu’un acteur tant il a été dévoré par son art et par la manière de l’exercer.
Sur la touche depuis plusieurs années, blacklisté des plateaux de tournage et de théâtre, il se berce encore d’illusions au sens propre comme au sens figuré tant il est habitué à tenir un rôle jusqu’au bout et jusqu’à l’excellence.
Mais en acceptant de coacher une jeune comédienne, il retrouve jour après jour le goût de la passion, et qu’importe finalement si le public
se résume à son élève, il est prêt pour elle, pour nous, à sortir le grand jeu.


LA PRESSE EN PARLE :

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