Un Poyo Rojo

Avec Alfonso Barón et Luciano Rosso (Argentine)

Danse

samedi 23 mars

20h30

Palais des Congrès à Saint-Raphaël

Durée : 1h

Cette performance burlesque et déjantée à la croisée de la danse et du théâtre se joue à guichets fermés depuis dix ans. Non sans humour, elle met à mal les clichés sur la masculinité.

Entrée libre

Deux mâles se livrent à une lutte dansée hilarante et virtuose, et, au passage, font éclater le vernis de tous les clichés.

Dans les vestiaires des hommes, ça sent la chaussette sale, la taule froide et les aisselles. Une certaine idée de la virilité. Deux garçons sont là, fouillent dans leur casier, se toisent un peu, se jaugent beaucoup. Chacun essaye d’impressionner l’autre avec des pas de danse comme deux coqs avant le combat. Pas un mot, pas de musique. Des regards, une petite radio, et enfin la lutte. Dans une danse frénétique et drôle, ils passent en revue toutes les modalités des relations humaines quand elles deviennent animales.

La chorégraphie écrite au millimètre se partage la partition avec des séquences improvisées. Un Poyo Rojo raconte la peur, la séduction, la mise en garde, l’attaque, la mise à mal et à terre... et le désir. Un spectacle bien vivant !

Avec Alfonso Barón et Luciano Rosso (Argentine)

Chorégraphie : Luciano Rosso, Nicolás Poggi
Mise en scène et création lumière : Hermes Gaido

« Un blockbuster international. » Libération

« Totalement décapant et drôle. » Marie France

« Un grand moment » Le Figaro

« Deux sportifs dans un ballet hilarant » Les Inrockuptibles

« Nourrie d’improvisations et de portés, la partition gestuelle s’étoffe et devient un vrai spectacle mêlant les genres et les disciplines. L’un des spectacles les plus sensuels que l’on puisse voir, d’une énergie sans faille et d’un humour taquin, qui devrait surprendre plus d’un spectateur. » Thierry Voisin, Télérama

« Dans ce combat de coqs, baroque et sensuel, le machisme et l’esprit de compétition perdent bien des plumes. Quelle drôlerie ! » Albert Algoud, Le Canard enchaîné

« Ces deux acteurs, danseurs et acrobates glissent du glamour à l’abject dans une rhapsodie de gags minutieusement chorégraphiés. » Eve Beauvallet, Libération

Aucune annonce pour le moment !

Voir la bande annonce