Texte de Vincent Cuvellier / Dès 10 ans
Évènement
20h30
Espace Robert Manuel
Durée : 55 min
Nous vous invitons à une expérience singulière : équipé d’un casque, vous plongez dans le spectacle par le son. entre pièce radiophonique et concert instrumental, ce spectacle est un formidable message positif d’humanité et d’espoir.
Âge minimum conseillé : 10 ans
- Séances scolaires : liste des séances scolaires
« L’histoire exceptionnelle de Clara, bébé juif rescapé d’une rafle en 1942, recueilli et caché par des Justes jusqu’à la Libération, est ici racontée sous une forme scénique insolite : un concert narratif jazz impro électro-acoustique. Le spectateur, assis au milieu des artistes et muni d’un casque, écoute les sons et les voix qui se succèdent. Sont-ce le dispositif particulier, le puissant et singulier récit écrit par Vincent Cuvellier, la finesse de l’interprétation ou la rencontre de tous ces éléments qui touchent si profondément ? L’accompagnement musical et sonore des deux musiciens s’équilibre parfaitement avec la belle performance de la comédienne. Chacun ressent la force de l’émotion, seul et à la fois ensemble. Un spectacle original et beau. » - TÉLÉRAMA
Texte de Vincent Cuvellier / Dès 10 ans
compagnie (Mic)zzaj
texte édité chez Gallimard Jeunesse Giboulées
avec
Olivia Kryger, voix parlée
Nicolas Larmignant, ordinateur, guitare préparée, objets sonores
Pierre Badaroux, contrebasse, basse électrique, harmonium, claviers, ordinateur
Une coproduction des Compagnies (Mic)zzaj et Bim Bom Théâtre.
Avec le soutien de la DRAC Rhône-Alpes et du Conseil Général de Savoie.
Diffusion du spectacle par la Cie (Mic)zzaj
« Au-delà du dispositif technique qui permet à chacun d’avoir le sentiment qu’on lui parle au creux de l’oreille, au-delà de l’écriture qui décrit subtilement les caractères, il y a le talent remarquable de la comédienne qui habite chaque seconde de cette histoire. Respiration, silences, chuchotements, on entend presque son cœur qui bat. Qu’importe l’absence d’images, chacun se les fabrique avec sa propre imagination. Changeant de voix et entrant délicatement dans la peau des personnages, elle nous les rend incroyablement proches, familiers, comme si nous étions là, tout à côté d’eux. Sans pathos mais avec beaucoup de finesse, d’infinie précaution. On sort de cette histoire submergé d’émotion, rempli d’admiration et de reconnaissance. » L’Alsace