Chorégraphie et direction artistique Blanca Li / Dès 8 ans
Danse
14h00
Théâtre Le Forum à Fréjus - Salle Gounod (850 places)
Durée : 1h10
Blanca Li, dont Solstice aura été accueilli en ouverture de saison, a plus d’une corde à son art. Elle revient avec une chorégraphie explosive de danse urbaine. De quoi montrer qu’elle est devenue une référence dans sa discipline.
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- 8 mars 2019 - 14h00
- 8 mars 2019 - 20h30
Chorégraphie et direction artistique Blanca Li / Dès 8 ans
Danseurs : Mamadou Bathily alias BATS, Roger Bepet alias BIG JAY, Taylor Château alias TAYLOR, Jérôme Fidelin alias GOKU, Filipe Francisco Silva alias FILFRAP, Slate Hemedi alias CRAZY, Adrien Larrazet alias VEXUS, Jordan Oliveira alias JORDY.
Assistants à la chorégraphie : Glyslein Lefever et Rafael Linares
Scénographie et lumières : Jean Kalman et Elsa Ejchenrand
Musique originale et direction musicale: Tao Gutierrez
Musique électro: NGLS JMBeats
Quatuor en la mineur Wq93 (H537) Andantino de Carl Philip Emmanuel Bach, interprété par La Tempestad (Silvia Marquez, Antonio Clares et Guillermo Peñalver)
Il Gardellino, Concerto pour flute, cordes et basse continue en ré majeur (R
428) d’Antonio Vivaldi, interprété par MAD FOR STRINGS
Sonate en do majeur K 159 de Domenico Scarlatti, interprété par Jeff Cohen
Sonate pour clavier en ré mineur BWV 964, Andante de de J.S. Bach, interprété par Jeff Cohen
Costumes : Laurent Mercier
Régie générale et lumière : José Martins ou Sylvie Debare
Administration : Etienne Li
Responsable production et communication : Jeanne Gascon
Responsable projets et vente des spectacles : Stéphane Hivert
Relations presse : Agence Sébastien d’Assigny : sdapresse@gmail.com
Coproduction : MA Scène Nationale de Montbéliard et MAC de Créteil
Studio de répétitions : Calentito134 – Métropole 19, Ville de Paris
merci à Fabrice Verrier, Claudia Gargano, Enrique Gutierrez, Jean-Christophe Désert, Sylvie Debare
photos : Ali Mahdavi www.alimahdavi.net
photos spectacle : Dan Aucante, Laurent Philippe, Patrick Berger
affiche : design Carlos Malpartida / photo Magali Bragard
« Tout était possible puisque rien n’était encore codifié. » (Le Monde, Rosita Boisseau)
« L’électro emballe sec une gestuelle frénétique des bras, qui se tordent et tournoient dans tous les sens, entre graphisme et fluidité. D’une vélocité de plus en plus folle, au point de donner des illusions d’optique, elle flirte avec la désarticulation féroce du flexing hip-hop, mais à très grande vitesse. » Rosita Boisseau, Le Monde
« Emprunte de couleurs et de positivité, cette ode à la joie va vous donner envie de danser. » Sandrine Nagbo-Elissée, Pleine Vie, 22 décembre 2017
« Ils étaient jeunes lycéens qui s’inventaient une identité à travers la danse, ils sont devenus des artistes complets et méritent ce coup de chapeau. Elektrik, qui s’intitulait originellement Elektrik Masters, risque de joliment secouer. » Rosita Boisseau, Télérama Sortir
« C’est une danse physique, enjouée, enthousiasmante. Comme le hip-hop qui l’irradie parfois, c’est aussi une danse qui vient de la rue et qui ne l’oublie pas. » La Gruyère, 6 février 2018 (Suisse)
« Dans un bal de couleurs, avec un joli jeu d’ombres et de lumières, les danseurs, mi-acrobates, contorsionnistes, enchantent les scènes au rythme de musiques très éclectiques. » Charlotte Lesprit, La Montagne, 26 janvier 2018