



Dans l’Amérique des années 70, Caspar, jeune schizophrène, est enfermé dans un hospice pour probablement y être lobotomisé.
Il ressent le besoin de prendre la parole. Sa nécessité à dire est vitale. Il doit raconter son intime, son chemin de vie, son meurtre, sa chute, sa douleur, mais aussi sa clairvoyance. Car Caspar n’est pas dupe.
Ici, désir et manipulation deviennent un principe narratif dynamique… Une façon de lisser les rapports de domination.
L’auteur questionne ces théories par le prisme de Caspar, personnage fantasque qui interroge la rationalité d’un monde dont les repères sont bousculés : le fou est-il fou ? Le sage est-il sage ?
Mise en scène: Olivier Desbordes
Avec: Mickael Winum & Jean-Paul Sermadiras
Lumières / Création vidéo : Clément Chébli
Costumes et accessoires: Patrice Gouron