PIXEL – MOURAD MERZOUKI

 

Durée : 1h10

Direction artistique et chorégraphie : Mourad Merzouki
Concept : Mourad Merzouki et Adrien M / Claire B
Création numérique : Adrien Mondot & Claire Bardainne
Création musicale : Armand Amar
Violon : Sarah Nemtanu
Piano : Julien Carton
Voix : Nuria Rovira Salat

Musique additionnelle :
Alto : Anne-Sophie Versnaeyen
Programmation batteries : « Les Plocks »,
Artback Society : Stéphane Lavallée et Julien Delaune
Enregistrement, mixage, création sonore : Vincent Joinville
Recherche sons : Martin Fouilleul

Assistante du chorégraphe : Marjorie Hannoteaux
Interprétation (en alternance) : Rémi Autechaud dit RMS, Rachid Aziki, Kader Belmoktar, Antoine Bouiges, Marc Brillant, Daravirak Bun, Elodie Chan, Hugo Ciona, Sabri Colin dit Mucho, Emilie Eliazord, Aymen Fikri, Justin Gouin, Xuan Le, Ibrahima Mboup, Julien Seijo, Maxim Thach, Paul Thao, Sofiane Tiet, Nina Van der Pyl, Médésséganvi Yetongnon dit Swing
Lumières : Yoann Tivoli, assisté de Nicolas Faucheux
Scénographie : Benjamin Lebreton
Costumes : Pascale Robin, assistée de Marie Grammatico
Peintures : Camille Courier de Mèré et Benjamin Lebreton

 

MOURAD MERZOUKI :

 

Issu de la même génération de chorégraphes que Kader Attou et Abou Lagraa, Mourad Merzouki, Lyonnais d’origine algérienne et française comme ses deux acolytes, s’évertue depuis les années 1990 à délivrer le hip-hop de la rue pour le renouveler sur les planches.

Ce n’est pourtant ni sur scène ni sur le pavé qu’il esquisse ses premiers jeux de jambes, mais à l’école de cirque de Saint-Priest et sur les tatamis de Lyon, où il s’essaie aux arts martiaux. Mordu de culture urbaine et de danse contemporaine, il ne tarde toutefois pas à suivre des stages auprès de chorégraphes comme Josef Nadj avant de fonder, avec Kader Attou, une compagnie de danse de rue en 1989 : Accrorap. Sept ans plus tard, il écume déjà les succès avec Käfig (qui signifie “cage” en allemand et en arabe), compagnie de hip-hop qu’il fonde en 1996 et avec laquelle il enchaîne les tournées en France et à l’étranger.

Déterminé à libérer les cultures de banlieue de leurs stéréotypes et à frayer une place pour la danse urbaine au théâtre, Merzouki revendique un langage chorégraphique hybride, franc et accessible à tous à travers ses spectacles (‘Le Cabaret urbain’, ‘Dix versions’…). Dans sa volonté de fédérer les échanges et la recherche, il obtient par ailleurs en 2009, après huit années de lutte, l’ouverture du Centre chorégraphique de Bron, dédié à la danse hip-hop. La même année, l’engagement et l’acharnement de Merzouki sont en outre récompensés par sa nomination à la tête du Centre chorégraphique national de Créteil qu’il quitte en 2022.

 

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