LA NUIT DU CERF – CIRQUE LE ROUX

 

 

 

Après « The Elephant in the Room », le Cirque Le Roux présente le deuxième opus de son diptyque « La Nuit du Cerf – A Deer in the Headlights ».
Cette création originale, inspirée de faits divers, mêle Nouvelle Vague française et mouvement Grindhouse américain des années 70. Une intrigue à la fois
comique, étrange et déroutante.
Miss Betty est morte…. Ses trois enfants se retrouvent dans la maison familiale située au bout d’un chemin en bord de forêt pour préparer la cérémonie des funérailles.
Soudain, dans un crissement de pneus, un mystérieux étranger hirsute et hors de lui débarque. De là, tout bascule : la famille fraîchement réunie règle ses comptes, se déchire, s’aime, s’empoigne, rit, s’esclaffe, pleure, danse, dérape …et les funérailles déraillent.
« La Nuit du Cerf » met en scène une galerie de personnages étonnants, hauts en couleurs, charismatiques et drôles. Une oeuvre où la singularité, la fragilité et la tendresse des relations humaines nous rattrapent. Six artistes circassiens virtuoses enchaînent équilibres, main à main, banquine, voltige, cadre aérien, fil de fer… La prise de risque physique et la profondeur des émotions est encore une fois le choix créatif et le défi de la
compagnie.
Il s’agit à la fois d’un hommage au cinéma, au cirque actuel, à l’humanité dans toute sa drôlerie, ses maladresses et sa splendeur.

 

 

Cirque Le Roux est une compagnie de cirque française, basée en Nouvelle Aquitaine, fondée en 2014, signant des oeuvres de haute voltige, cinématographiques, esthétiques et minutieuses dans des atmosphères tragi-comiques et oniriques. Ses membres souhaitent explorer et mettre en scène des univers singuliers et originaux, empreints d’idées personnelles et d’inspirations mélangées. Ils fondent leurs recherches
sur les personnalités et sensations humaines diverses et variées. Leurs corps de circassiens leur permettent de repousser les limites dans plusieurs disciplines acrobatiques et sont mis au service d’une dramaturgie complexe. Leurs créations prennent vie dans des écrins qui touchent et questionnent leurs relations et leur confiance face à eux-mêmes et aux autres. Ses quatre fondateurs, Lolita Costet, Grégory Arsenal,
Philip Rosenberg et Yannick Thomas, créent en 2015 The Elephant in the Room, une comédie circassienne déjantée, délicieusement rétro, qui dès les quatre premières années de sa diffusion a été jouée plus de quatre-cent fois à travers le monde.

 

Avec ce spectacle, Cirque Le Roux reçoit la nomination du Total Theater Award et la palme Guichet Fermé au Fringe Festival à Edimbourg en 2015, réjouit 50 000 spectateurs à Bobino Paris et se voit récompensée de l’Étoile du Parisien en 2017. L’originalité et la virtuosité de cette création lui valent des invitations à des émissions de télévision comme Le Plus Grand Cabaret du Monde, le Quotidien de Yann Barthès, la Cérémonie des Molières aux Folies Bergères ainsi que Vivement Dimanche de Michel Drucker. De par son emprunte cinématographique, elle fait aussi l’objet d’une captation intégrale diffusée sur les chaines nationales, comme TV5 Monde et Canal +, et internationales.
En 2019, Cirque Le Roux se lance le défi d’une Nouvelle Création, une seconde oeuvre de « ciné-cirque » extraordinaire, dans laquelle le surpassement artistique se mesure sur tous les plans (techniques acrobatiques, diversité des disciplines, jeu d’acteur, scénographie, costumes…) et pouvant être vue comme la suite du premier spectacle, trente-cinq ans plus tard.

 

 

Charlotte Saliou mène depuis plusieurs années une recherche sur le jeu clownesque et burlesque, dans sa poétique, ses revirements, ses éclats, qui font résonner en chacun de nous l’être maladroit, attachant et unique. Elle-même, comédienne, s’emploie à l’humour du théâtre physique et parlé, créant la démarcation, notamment au sein de sa propre compagnie – Jackie Star & cie – dans le spectacle ElianeS, ainsi que dans le spectacle
Garden Party de la Cie N°8. Depuis 15 ans, elle met en scène des spectacles circassiens, des cabarets, des pièces de théâtre visuelles et musicales, notamment dans La Revue des Sea Girls où elle a travaillé
sur le jeu d’acteur.

 

 

 

Rare femme évoluant dans le monde du néo-classique, Alexandra Stréliski crée une musique qui fait vibrer l’auditeur émotionnellement, emplissant l’esprit de riches images cinématographiques. Artiste d’origines française et canadienne ayant grandi entre Paris et Montréal, elle a fait ses débuts avec le disque Pianoscope (2010), mais a été révélée au grand public à travers les films Dallas Buyers Club (2013) et Demolition (2016) de
Jean-Marc Vallée et, plus récemment, via la bande-annonce de l’acclamée série Big Little Lies (HBO, 2017). Portée par cet élan, la compositrice-interprète est fin prête pour un accueil en bonne et due forme avec l’album Inscape, à paraître sur Secret City Records.
Appuyée par le coup de coeur mentionné plus haut de Jean-Marc Vallée, qui permet à la musique de Stréliski de retentir en direct lors de la cérémonie des Oscars, la pianiste bénéficie d’une vitrine stellaire faisant bondir à près de quinze millions les écoutes en continu à travers les différentes plateformes numériques.

 

 

 

Pierre a 35 ans et vit à Marseille. Il a 17 ans quand il se décide à faire du son, mais n’étant pas assez doué en musique et préférant travailler en groupe que face à son ordinateur avec un casque sur les oreilles dans une cave, il se tourne progressivement vers le spectacle vivant. Après un BTS audiovisuel, il intègre l’ENSATT (École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre) de Lyon. Il découvre notamment le cirque avec la compagnie BAM comme créateur sonore et la compagnie Baro D’Evel comme régisseur son. Parallèlement, il travaille ponctuellement en technique à l’Académie Fratellini. Après de nombreuses créations de bandes son pour des spectacles de théâtre et de cirque, il se lance dans la régie générale pour la compagnie BAM, le festival La fête des Sottises de Salies de Béarn et depuis 2015 le Cirque Le Roux.

 

 

Originaire des tréfonds de la campagne Normande, Jean-Marie découvre l’eau courante et l’électricité à l’âge de 17 ans. Remisant alors ses bougies et ses sabots de bois, il décide de se consacrer tout entier à sa nouvelle passion: la musique amplifiée. Après une formation de trois ans à l’EMC Malakoff, il part en tournée avec le groupe « No Money Kids », un duo Electro-Rock auprès duquel il officie toujours en tant que régisseur son.
Désormais basé à Paris, il travaille pour diverses salles parisiennes telles que l’Alhambra, le Comédia, les Folies Bergères ou encore Bobino.