Enrico Macias & Al Orchestra

 

Durée : 1h20

Chanteur et musicien : Enrico Macias
Violon : Kamel Labbaci
Guitare : Bruno Bongarcon
Guitare : Abdenour Djemai
Batterie : Serge Haouzi
Clavier : Lionel Teboul
Percussions : Amar Mohali
Basse : JC Ghrenassia


Costume sombre et chemise blanche, l’artiste à la voix et à l’accent reconnaissable entre mille débarque au Théâtre le Forum le samedi 17 septembre à 20h30.

Accompagné de 6 musiciens, dont son fils Jean-Claude à la basse, Enrico Macias qui n’a rien perdu de son timbre de voix embarque un public familial entre ritournelles entêtantes et ballades arabo-andalouses.

Les nombreux succès : « Adieu mon pays », « Oranges amères » ou « Les filles de mon pays » s’enchainent, nous transportent et nous poussent à chanter tous ensemble pour fêter les 60 ans de carrière d’Enrico Macias !

1ère PARTIE :

NOA R., le miracle genevois d’Enrico Macias

crédit photo : Martine Lafit

 

Noa R. a 17 ans aujourd’hui.
A l’âge de 4 ans, elle subit une grave opération du cerveau pour y retirer des tumeurs qui lui provoquaient de nombreuses crises d’épilepsie et se réveille d’un coma sur une chanson d’Enrico Macias,
qui est depuis, devenu son parrain musical.

Durant cette période difficile, comme elle le dit souvent, la musique a été sa seule amie et l’a accompagnée dans les moments de joie comme dans les moments de grisaille.
Aujourd’hui, elle chante et se sent libre d’exister.

D’un duo avec Enrico Macias, « Enfants de Etoiles« , à ses propres chansons, il n’y avait qu’un pas qu’elle a franchi avec son premier single et son premier clip « Chagrin d’Amitié« ,
puis aujourd’hui avec « Ne t’en va pas« , un titre écrit par Marc Lavoine et composé par Christophe Casanave.

Un album est en préparation avec de belles et surprenantes collaborations, puisqu’elle est entourée par Marc Lavoine, Christophe Casanave, Claude Lemesle, DJ Bellek, Marc Esteve, Régis Sévignac, Lude et Philippe Russo sans oublier Enrico Macias toujours à veiller sur elle.

Noa est actuellement en studio avec Jonathan Mamann et Benny Adam et un nouveau single sortira d’ici la fin de l’année.


L’ARTISTE :

D’abord instituteur en 1956, il rejoint l’orchestre de Cheikh Raymond. Ce dernier, symbole de l’échange entre les communautés d’Algérie, est assassiné en juin 1961 par le FLN, à Constantine.
La famille Ghrenassia se décide à quitter l’Algérie le , soit onze mois avant la fin de la guerre.
C’est durant cette traversée nostalgique de la Méditerranée comme de nombreux expatriés, qu’il compose à la guitare « J’ai quitté mon pays, j’ai quitté ma maison ».
La famille s’installe à Argenteuil.

Enrico Macias (1965).

À Paris, Enrico est étudiant au lycée François-Ier de Fontainebleau et il habite chez sa tante et son oncle rue de Picpus. Il travaille irrégulièrement, vit de petits boulots tout en se produisant dans les cabarets. Repéré, il fait la première partie d’un concert de Gilbert Bécaud et passe en 1962 pour la première fois à la télévision dans l’émission Cinq colonnes à la une pour illustrer un reportage sur les rapatriés d’Algérie. Son interprétation de la chanson Adieu Mon pays, devient le symbole de l’exil des Pieds-Noirs et il devient célèbre. Il adopte alors le pseudonyme d’Enrico Macias. Pathé Marconi sort son premier album en 1963, avec le titre phare Enfants de tous pays.

Enrico Macias en concert en 2016.

Reconnu internationalement, il reçoit le titre de Chanteur de la paix de Kurt Waldheim en 1980.

En 1985, il reçoit la croix de chevalier de la Légion d’honneur des mains du Premier ministre Laurent Fabius. Il est promu au grade d’officier par le président Jacques Chirac en .
En 2006, il est promu commandeur des Arts et des Lettres pour l’ensemble de sa carrière par Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la Culture.

En 1998, il devient membre du conseil de surveillance du groupe Partouche.
Il est également directeur général délégué de la Société européenne de grands restaurants, qui gère entre autres le Laurent, appartenant au groupe.

Sa décision de jouer des concerts en Algérie suscite une énorme controverse.
Après l’annulation d’un projet de tournée en Algérie en 2000, il a écrit un livre, Mon Algérie (Editions Plon en octobre 2001) commercialisé comme une « véritable histoire d’amour entre un homme et sa patrie ».

SOURCE : WIKIPEDIA


LA PRESSE EN PARLE :

 

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